« L’un des plus grands talents du seul en scène. »
WebThéâtre. Gilles Costaz
« La championne de France de slam en interview.
Lauréline Kuntz (making-of). » Voir l’interview en ligne
Première. Julien Barret
Get slammed the way french people do
« Lauréline Kuntz Brings her vision of the eccentricities of langage in Lebanon(…)
her dyslexia is the perfect tool to show that langage is en endless labyrinth.
Her performance mixes her talent as a poet and a comedian. »
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Daily Star Liban. Chirine Lahoud
« Lauréline Kuntz joue avec les mots comme elle respire. Unique ! »
Le Point. Valérie Pfeffer
« Humour, dérision, tendresse, colère, allégresse… C’est formidable !»
Pariscope. Marie Céline Nivière
« Lauréline Kuntz se joue des mots, les malaxes, les réinvente. Un régal pour les esprits curieux. »
Télérama. Michèle Bourcet
« Son style : pétulante rigolote, acrobatie sémantique, évoquant le Tardieu d’un Mot pour un autre, le verbe cru digne d’une gamine des rues et le flow, ce fameux débit des rappeurs. (…) Une diva du genre.»
L’Alsace. Simon Barthélémy
« Elle est tour à tour loubard nostalgique, clochard, serial killer, joue une sadomasochiste, parle d’amoureux qui se dévorent sous les yeux horrifiés de Cupidon. Le tout avec une écriture au scalpel, Elle ne vous lâche pas d’une virgule, fascinante. »
Europe 1. Charlotte Lipinska
« Humour fin et innovant, regard lucide, caustique, tendre et pathétique. Parfois c’est beau comme du Verlaine”
La Montagne
« On se régale ! Un vrai tour de force en matière de langue !»
Libération. Tiffany Tavernier
« C’est brûlant d’actualité et de poésie où les Fleurs du mal flirtent avec « Mignonne allons voir si la rose » .
Un corps à corps, un bouche-à-bouche qui vous laisse sans voix. »
L’Alsace. Jean-Marie Valder
« De ces yeux vacances, rieurs de soleil bleus, elle frappe fort, de mots et de flow.
Des neurones à n’en plus finir, jusqu’aux pointes… de la dernière goutte de kératine. »
© 2013 Aurélia de Nerval – http://aureliadenerval.tumblr.com/
« Sa plume originale interpelle et le déluge de satire est efficace »
Dernières Nouvelles d’Alsace.J. Salzani-Cantor
« Des mots et des personnages taillés au scalpel »
Le Journal du Dimanche. Delphine de Malsherbe
« C’est drôle, rythmé, rimé, bien arrimé. Un humour fécond pas con, entre Céline et Desproges, (…)
interprété avec une étonnante maestria. Une performance ! »
Les Trois Coups. Franck Bortelle
« Quel plaisir de découvrir une artiste absolument originale qui en la voyant n’appelle pas d’autres références. Son style elle l’invente (…)
Spectacle inclassable, ciselé, brillant et émouvant.(…) Un patchwork d’émotion. Entre slam, poésie, humour et magie »
Froggy’s Delight. Nicolas Arnstam
« Lauréline Kuntz aime l’argot, les gros mots, les onomatopées, elle ne manque ni de vocabulaire ni d’imagination »
Le Parisien. Caroline Andrieu
Lauréline Kuntz ou le feu d’artifice de mots
« Une spectacle délirant, une folle virée, débridée et grisante ! Magique, époustouflant !
Lauréline a emporté l’audience vers sa sphère de joute oratoire ! (…) Et le rire succombe à la séduction de la belle ! »
L’Orient le Jour. Colette Khalaf
Lauréline kuntz ou le feu d’artifice de mots
« De la comédienne ou de l’auteur on ne sait laquelle dévore l’autre… Une chose est sûre voilà un phénomène à ne pas rater ! »
Métro. Charlotte Lipinska
« Une drôle de fille cette Lauréline Kuntz ! Elle joue sur les mots comme d’autres sur une corde… »
Le Figaro. Jean-Luc Jeener
« 50 minutes de délire (…) l’humoriste-poète vient d’imposer un nouveau créneau. C’est un tour de force. »
Lucie Joubert – ici
« Débit de mitraillette, gestuelle étudiée, sujets originaux, Lauréline Kuntz incarne des personnages border line (clodos, nymphos ou loubards) et joue avec les mots, entrechoque les sons qu’elle inverse dans un mélange décapant.
(…) Dixlesic ou l’art de décaler les sons »
Pariscope. Julien Barret
« Seule en scène le regard bleu pétillant, elle croque les mots avec gourmandise, les mitraille en une salve de textes drôles, poétiques, percutants, et, dès la première minute, nous embarque dans son univers…
Ne laissez pas passer ce phénomène ! »
Lesbia Mag
Tendrement cruelle
« Entre slam et poésie, one-woman-show et sketchs lancés comme des missiles, Lauréline incarne une galerie de personnages tendres et cruels, dont le point commun serait la maladresse.(…)
VSD. Christian Eudeline
L’ovni Lauréline Kuntz
» Lauréline Kuntz a ciselé ce premier « slam-woman-show » pour se délecter toujours plus des mots (…) Qu’ils soient coquins, drôles, durs ou imprononçables, en virtuose de la langue, elle les malaxe, les torture, les sublime. »
Direct Soir
Lauréline Kuntz championne de slam et d’humour
» Elle est à la fois ange et démon (…) Rencontres, ou expériences, tout pour la jeune femme est source d’inspiration et de dérision. »
France 3
« Un spectacle à ne pas rater ! Fantastique ! Et quel final ! (…) »
Au Field de la Nuit. Michel Field
« Lauréline Kuntz raconte à sa façon, en tricotant avec les mots, jouant avec le vocabulaire, mixant et mêlant les sons et les syllabes avec rythme et intensité, alternant telle une équilibriste, gravité et humour déconcertant.«
France Culture. Isabelle Lassalle
http://www.franceculture.fr/2009-07-13-avignon-2009-dixlesic-de-laureline-kuntz-2e-edition.html
Festival d’humour : des mots et des maux
« Mots crus poétiques et touchants. (…) On se souviendra, et c’est là le paradoxe, de deux personnages phares du répertoire de Lauréline : Gégé un SDF malodorant et Nicolas un petit homme que tout le monde aura reconnu… Soit la détresse de la misère d’un côté, et la parodie un peu « bling bling » de l’autre. Un grand écart qui semble être la « patte » de Lauréline Kuntz, poétesse de la rue, peintre des émotions et des espoirs d’une jeunesse qu’elle incarne, et pas seulement grâce à son vocabulaire (…) Soit la vérité d’une artiste dont les mots sont l’arme très peu secrète. »
Le Dauphiné Libéré. Isabelle Calendre
« C’est un feu d’artifice de mots, de phrases, dont elle nous gratifie sans mesure autre que celle du plaisir de parler.Les mots, elle semble les déguster avec une délectation communicative qu’elle veut nous faire partager. Et elle y arrive sans peine… »
La Marseillaise. Henri Lépine
« Pour le mois de la francophonie, nous avons observé cette fée nous dessiner au travers du rythme de sa voix, de son costume, de sa poésie drôle et de son jeu surprenant, non pas une imitation des personnages mais une personnification de leur état »
An-Nahar
« Un mélange de Grand Corps Malade et de Desproges, avec le charme féminin, qui donne un spectacle nouveau (…)
Une galerie de portraits décalés et pathétiques, rendus très attachants par le « slam » poétique et les imitations pleines d’humour et de gravité de Lauréline Kuntz. »
Avignon City Local News. Christian Fuentes
« Un bagout formidable ! »
Figaroscope
« Facile d’égrener des vers accompagnés de musique qui rythme la diction. Facile aussi de réciter des phrases avec arrogance quand des notes saccadées excitent le spectateur. Mais ce que fait Lauréline Kuntz est unique en son genre, magique, époustouflant. On peut dire que le coup d’envoi du mois de la francophonie était réussi. »
L’Orient le Jour. Chaden Maalouf Najar
Une performance de slam à Beyrouth; Le Français se refait une santé au moyen de cet art dédié aux amoureux de la langue
Cette prêtresse du royaume des mots occupe la scène par sa gestuelle, ses expressions faciales et ses yeux qui regorgent d’intelligence et d’humour »
AL Ayam. Marwan el Tibi
Slam ou comment se jouer des mots
L’Orient le Jour Junior. Nayla Chkaibane