Lundi, j’ai joué un nouveau texte lors de la soirée l’amour d’écrire en direct et Michel Azama, l’Auteur, a écrit ça :
« Une étonnante créature, Lauréline Kuntz fait un numéro d’équilibriste de la langue, sorte de Novarina rappeur qui jette sur le public des brandons enflammés de langage tandis que celui ci, époustouflé, siffle (on a distribué des « langues de belle mère ») rit ou retient son souffle face au grand cirque sexypoliticosociocultureux qui lui est jeté à la face. Les gens n’ont pas le même humour que moi, surtout les autres, dit elle. On applaudit ce talent d’auteur et de comédienne. »
J’en suis toute joyeuse !