Arrête de t’plaindre,
pendant la guerre on s'plaignait pas !

De et avec Lauréline Kuntz / Mise en scène Arnaud Décarsin

Lauréline Kuntz rassemble ses mots, des sketchs, des scénettes et des nouvelles trouvailles pour un spectacle unique ! Des personnages taillés au scalpel, caustiques et criants de réalisme ; Un style drôle, décapant, touchant, pétillant d’audace et d’autodérision… A ne pas manquer !

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L’HISTOIRE DE ARRETE DE TE PLAINDRE …

Il y a trois ans Lauréline avait fait une apparition fracassante avec Dixlesic, entremêlant slam, humour acide et un nombre incalculable d’inventions. Avec Miss Crise, véritable prouesse d’originalité et d’imagination, elle avait confirmé sa position de reine du verbe.  Elle revient, après avoir fait voyager ses spectacles, enrichi son jeu et étoffé son répertoire pour nous proposer un condensé de son humour et de ses textes sous un nouveau regard, plus théâtral. Le spectacle est joué pour quelques dates exceptionnelles en 2012 au Théâtre Victor Hugo à Bagneux, à l’Avant Scène à Rueil-Malmaison et au Point Virgule, à Paris.

NOTE D’INTENTION

Le ghetto, le sexe et le fric !
« Arrête de t’plaindre… Bordel ! »

Dans ce nouveau spectacle, il y aura, en vrac :

Des Zenfants, un gamin, des loulous, un tout moumou, le Trader mou, un vieil ami, Nicolateur, Michel Jacon, le sosie bonheur, une nonne en chaleur, une Sirène boudeuse S.M. sentimentale, une Bistouri Star viscérale, une tendre dominatrice, une Mémé alsacienne et ses guerres, un Monstre de Fer et ses hauts le cœur !

Il y aura donc :

Des beaux bizarres, des p’tits loubards, de l’émotion, du sexe, de la folie, des belles histoires, du neuf et du retravaillé, du classique et du revisité, de l’incontournable et du passé recomposé, des personnages hauts en couleur et des jeux de mots bien sentis !

Il y aura aussi :

Des marginaux, des décalés – ceux à défendre ou enfoncer – des papathétiques, des pas réélus, des patrimoines mondial, de la révolte, de la sueur, le paradis et l’enfer, l’herbe tendre et l’ironie amère, l’exigeant et le populaire, l’humour et la poésie, la caricature des choses de la vie, une armée de cœurs battants, de la direction d’acteur, du beau, du virevoltant ou de l’ordinaire !

Il y aura encore :

Du silicone, du dur, du mou, du dyslexique, du dépassé, du presque trépassé, du trop plein, du trop peu, du jeu, du neuneu, la folie en tête, l’humour en fête, la tête bien faite, quelques kilos en trop, un beau profil, un utérus, des gros bonus, le sexe du texte, la rixe des tripes, la boxe du beat, la sensualité et l’éveil cosmique ou les joies de la maternité !

Il y aura peut-être :

Une tombola, un gros lot et un rappel, de la grande interprétation, de l’Actor’s Studio, du rôle à Oscar, du mime, du clown, de la danse, du chant, du cirque, du désespoir, la femme ballon, le dromadaire à deux têtes, la Grosse Bertha, un patriote, une fleur au fusil, la raison en marge, une icône pop, la reine des barges, un Oulaoup, un chapeau et une pipe, Zahia D. et sa sœur voire un coussin péteur…

Enfin, il y aura sûrement :

De l’insoumise, de l’intrigante, de la fascinante ; Mata Hari, Louise Michel, Mathieu Mireille, Fréhel, Zouc ou Mouskouri, Fergie ou Lady Pipi,  Sarah Berhnardt, Brigitte B. et toute la compagnie ! Des étrangers avec ou sans papiers, ici tout est permis, Bambi et ses amis, des doux rêveurs, des gros gaffeurs, un mythomane, un dépressif, les affres du temps qui glisse, une crise qui lasse, les mots en vrac, l’iconoclaste, le rire à tue tête et un remue méninge de crac, le tic tac tonique de l’éthique, aucune tactique ni mécanique, le ghetto et le fric, la fange et le chic, de la trique, des tocs, du trac et surtout le grand souk de la vie !

Oh oui ! Alors…  Arrête de t’plaindre !

©Lauréline Kuntz

PRESSE

« (…) Sacrée championne de Slam de France le 30 juin 2007, Lauréline présente effectivement un spectacle sur ce mode : les textes sont écrits avant toute chose et puisent leurs effets humoristiques dans la rime et la sonorité des mots. Loin du mantra « une ligne, un punch » qui guide la plupart de nos humoristes actuels, Kuntz propose un spectacle construit comme une enfilade de poèmes, récités avec une énergie qui nous laisse essoufflés, ravis. Difficile dans ces conditions de cibler une blague en particulier ; il faudrait inventer un nouveau système de sténo ou carrément enregistrer le tout pour arriver à suivre. (…)  50 minutes de délire  (…) l’humoriste-poète vient d’imposer un nouveau créneau. C’est un tour de force. »

Lucie Joubert –  http://artsites.uottawa.ca/luciejoubert/fr/